Tabouret Lampe champignon chêne non éclairé
Informations Techniques
Avec le luminaire champignon, c'est un type d'éclairage bien connu depuis les années 60 qui fait ses adieux dans les rues allemandes. La raison en est les mesures d'économie d'énergie prises par les villes et les communes. Deux designers ont redécouvert les abat-jour abandonnés et les ont utilisés pour créer un tabouret. La taille de l'abat-jour, avec sa hauteur d'assise confortable de 47 cm, s'y prêtait parfaitement. Par la suite, des produits ont été créés qui reviennent à l'origine, c'est-à-dire à l'éclairage, mais maintenant pour l'intérieur. Vous trouverez ce tabouret avec possibilité d'éclairage sous les références 100885 et 100884.
Plus de détails
Depuis l'époque de Manufactum, THPG entretient des relations intenses avec les fabricants allemands et voisins de biens de consommation courante fabriqués à partir de matières premières naturelles, céramiques et métalliques. La plupart de ces entreprises ont réussi à se sauver au cours des trois dernières décennies de mondialisation à grande échelle et totale pour devenir des fournisseurs spécialisés dans les secteurs des biens d'équipement. Le THPG utilise désormais ces anciennes relations pour déterminer où il existe encore des outils et des compétences pour produire à nouveau ou continuer à produire des objets de tous les jours.
La Chine est sans aucun doute devenue un pays industriel très développé, notamment grâce à l'aide active de l'industrie allemande des machines-outils. Mais elle dispose d'énormes surcapacités dues à sa fonction de producteur à bas prix pour les marchés occidentaux de biens de consommation. Elle semble actuellement vouloir s'en débarrasser avec force en Europe, parfois à des prix qui ne couvrent même pas les frais de transport.
Au vu des menaces géopolitiques et logistiques qui pèsent sur les échanges mondiaux, il semble opportun de se poser à nouveau la question : D'où cela vient-il en fait ? La réponse "d'ici" ou "de près" a quelque chose de rassurant, car il est inévitable que ce qui ne se fait pas aujourd'hui ne se fera pas demain. Les économies occidentales, et notamment l'économie allemande, en ont fait la douloureuse expérience.
Nous souhaitons vous présenter ici le résultat doublement encourageant de notre recherche permanente de "choses d'ici", qui montre d'une part qu'il existe encore des alternatives nationales aux produits importés d'Extrême-Orient, même pour les biens de consommation courants, et qui prouve d'autre part que l'avance qualitative promise depuis des décennies par le label de qualité "Made in Germany" est toujours d'actualité.